Série très attendue en France surtout depuis sa très belle adaptation animée, le premier tome est surtout une introduction à l’univers et aux règles qui régissent le monde de Made in abyss
L’abysse est un nid à reliques et autres trésors, mais partir à leur recherche n’est clairement pas sans danger c’est pourquoi toute une hiérarchie est mise en place pour les explorateurs, appelés ici les caverniers.
L’abysse est découpée en strates selon leurs dangerosités, qui se caractérisent par des effets secondaires qui vont de simples vomissements à la perte d’humanité pure et simple. La seule raison à ces troubles est qu’il s’agit de la malédiction de l’abysse. Il est nécessaire pour les caverniers d’obtenir le droit d’accéder à chacune de ces strates, un droit symbolisé par des sifflets de couleur, le sifflet blanc étant le Graal réservé uniquement aux plus grands explorateurs.
La faune et à la flore ainsi que la topographie de l’abysse font tout le sel de l’exploration et chaque découverte provoque l’émerveillement des personnages et du lecteur. Les questions que l’on est en droit de se poser sont très nombreuses, qui sont ces cadavres en posture de prière fréquemment trouvés près des reliques ? Qu’est ce qui cause cette malédiction de l’Abysse ? Et que peut on trouver au fond de cette abysse, au delà du point de non retour ?
Le dessin est très joli, tout en rondeurs avec aspect crayonné comme un livre pour enfants. Ototo nous propose une édition très propre, le grand format étant très appréciable.
L’univers est riche et prometteur, son développement par la suite regorge de possibilités et nous sommes curieux de voir par quelles trouvailles l’auteur enrichira encore son récit. Ce premier tome n’offre pas forcément beaucoup de péripéties mais il était nécessaire de bien poser les bases du récit et nul doute que le prochain volume regorgera de découvertes et de rencontres en tout genre.
L’abysse est un nid à reliques et autres trésors, mais partir à leur recherche n’est clairement pas sans danger c’est pourquoi toute une hiérarchie est mise en place pour les explorateurs, appelés ici les caverniers.
L’abysse est découpée en strates selon leurs dangerosités, qui se caractérisent par des effets secondaires qui vont de simples vomissements à la perte d’humanité pure et simple. La seule raison à ces troubles est qu’il s’agit de la malédiction de l’abysse. Il est nécessaire pour les caverniers d’obtenir le droit d’accéder à chacune de ces strates, un droit symbolisé par des sifflets de couleur, le sifflet blanc étant le Graal réservé uniquement aux plus grands explorateurs.
La faune et à la flore ainsi que la topographie de l’abysse font tout le sel de l’exploration et chaque découverte provoque l’émerveillement des personnages et du lecteur. Les questions que l’on est en droit de se poser sont très nombreuses, qui sont ces cadavres en posture de prière fréquemment trouvés près des reliques ? Qu’est ce qui cause cette malédiction de l’Abysse ? Et que peut on trouver au fond de cette abysse, au delà du point de non retour ?
Le dessin est très joli, tout en rondeurs avec aspect crayonné comme un livre pour enfants. Ototo nous propose une édition très propre, le grand format étant très appréciable.
L’univers est riche et prometteur, son développement par la suite regorge de possibilités et nous sommes curieux de voir par quelles trouvailles l’auteur enrichira encore son récit. Ce premier tome n’offre pas forcément beaucoup de péripéties mais il était nécessaire de bien poser les bases du récit et nul doute que le prochain volume regorgera de découvertes et de rencontres en tout genre.
Made in abyss aux éditions Ototo. Série en cours avec 6 tomes actuellement au Japon. 8€99 le tome.
Clément DERRIEN
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